
Notre équipe en RD Congo


Adama Moussa est Représentant résident d'ONU Femmes en République démocratique du Congo depuis janvier 2022. Expert en égalité de sexes, Il a plus de 20 ans d'expérience dans le domaine de l'autonomisation des femmes, la mise en œuvre de politiques et stratégies nationales de promotion du genre et dans le domaine académique.
Il travaille pour ONU Femmes depuis la création de l'agence en 2010, d'abord au Mali, puis en tant que Représentant adjoint en RDC de 2013 à 2015. Il a ensuite été Représentant adjoint puis Représentant résident au Cameroun et Chef du Bureau d'ONU Femmes au Niger.
Avant de rejoindre ONU Femmes, Adama Moussa a été chargé de cours à la Faculté des sciences et technologies du Mali, Consultant en genre, Conseiller technique régional sur le transport et la pauvreté à la Banque Mondiale et Conseiller technique régional sur l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes pour le Centre régional en charge des Millenium Development Goals.
Adama Moussa est marié, de nationalité malienne et diplômé de l'École Normale supérieure de Bamako.
Il travaille pour ONU Femmes depuis la création de l'agence en 2010, d'abord au Mali, puis en tant que Représentant adjoint en RDC de 2013 à 2015. Il a ensuite été Représentant adjoint puis Représentant résident au Cameroun et Chef du Bureau d'ONU Femmes au Niger.
Avant de rejoindre ONU Femmes, Adama Moussa a été chargé de cours à la Faculté des sciences et technologies du Mali, Consultant en genre, Conseiller technique régional sur le transport et la pauvreté à la Banque Mondiale et Conseiller technique régional sur l'égalité des sexes et l'autonomisation des femmes pour le Centre régional en charge des Millenium Development Goals.
Adama Moussa est marié, de nationalité malienne et diplômé de l'École Normale supérieure de Bamako.
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Albert G. Zeufack
Banque mondiale
Directeur Pays
Albert G. Zeufack est le directeur pays de la Banque mondiale pour l'Angola, le Burundi, la République démocratique du Congo (RDC) et Sao Tomé-et-Principe. Avant cette affectation, Dr. Zeufack a occupé le poste d'économiste en chef pour la région Afrique de la Banque mondiale de 2016 à 2022.
Dr. Zeufack est rentré à la Banque mondiale dans le cadre du programme de recrutement de « jeunes professionnels » en 1997 et a commencé sa carrière comme chercheur au sein de la Division macroéconomie et croissance du Département de la recherche. Il a ensuite occupé différents postes au sein des Régions Afrique, Asie de l’Est et le Pacifique, et Europe et Asie Centrale. Entre 2008 et 2012, il s’est mis en disponibilité, pour travailler dans le fonds souverain malaisien, Khazanah Nasional Berhad, en tant qu’économiste en chef et directeur de la recherche et de la stratégie.
Entre 2012 et 2016, il a été responsable sectoriel pour la réduction de la pauvreté et la gestion économique (PREM) pour les Grands Lacs africains, directeur au pôle mondial d’expertise en macroéconomie et finances publiques, et chef de file d’une communauté d’experts de la Banque mondiale sur la gestion des rentes des ressources naturelles.
De nationalité camerounaise, Dr. Zeufack est titulaire d’un doctorat en sciences économiques du CERDI-Université de Clermont-Ferrand (France) où il a enseigné avant de rejoindre la Banque mondiale. Il est également titulaire d’un DEA en analyse et politiques économiques de l’Université de Yaoundé (Cameroun) et a suivi des enseignements professionnels à Harvard et Stanford.
Dr. Zeufack est membre du Comité technique consultatif pour la Charte des ressources naturelles à l’université d’Oxford, membre du Conseil consultatif de l’Institut pour la gouvernance des ressources naturelles (NRGI), membre du réseau de développement durable des Nations unies, et membre du Conseil d’administration du Consortium pour la recherche économique en Afrique (AERC).
Dr. Zeufack est rentré à la Banque mondiale dans le cadre du programme de recrutement de « jeunes professionnels » en 1997 et a commencé sa carrière comme chercheur au sein de la Division macroéconomie et croissance du Département de la recherche. Il a ensuite occupé différents postes au sein des Régions Afrique, Asie de l’Est et le Pacifique, et Europe et Asie Centrale. Entre 2008 et 2012, il s’est mis en disponibilité, pour travailler dans le fonds souverain malaisien, Khazanah Nasional Berhad, en tant qu’économiste en chef et directeur de la recherche et de la stratégie.
Entre 2012 et 2016, il a été responsable sectoriel pour la réduction de la pauvreté et la gestion économique (PREM) pour les Grands Lacs africains, directeur au pôle mondial d’expertise en macroéconomie et finances publiques, et chef de file d’une communauté d’experts de la Banque mondiale sur la gestion des rentes des ressources naturelles.
De nationalité camerounaise, Dr. Zeufack est titulaire d’un doctorat en sciences économiques du CERDI-Université de Clermont-Ferrand (France) où il a enseigné avant de rejoindre la Banque mondiale. Il est également titulaire d’un DEA en analyse et politiques économiques de l’Université de Yaoundé (Cameroun) et a suivi des enseignements professionnels à Harvard et Stanford.
Dr. Zeufack est membre du Comité technique consultatif pour la Charte des ressources naturelles à l’université d’Oxford, membre du Conseil consultatif de l’Institut pour la gouvernance des ressources naturelles (NRGI), membre du réseau de développement durable des Nations unies, et membre du Conseil d’administration du Consortium pour la recherche économique en Afrique (AERC).
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Mme Alexandra Simpson, Cheffe de mission de l'OIM en République démocratique du Congo (RDC) depuis octobre 2024.
Alexandra a plus de 20 ans d'expérience au sein des Nations Unies et d'organisations apparentées, ayant travaillé dans les domaines de l'humanitaire, du développement et de la paix. Elle possède une large expérience dans les questions liées à l'intégration des Nations unies, à la transition des opérations du maintien de la paix et au développement durable, y compris les migrations. Avant de rejoindre la RDC, Alexandra a dirigé le centre d'analyse de la mission conjointe de la Force intérimaire de sécurité des Nations unies dans la région d’Abiyé (FISNUA/UNISFA), où elle a œuvré sur l'analyse complète de tous les facteurs ayant un impact sur la présence des Nations unies, en étroite coordination avec les agences, les fonds et les programmes.
Alexandra a été chef d'équipe RCO en Afghanistan, au Soudan et aux Philippines. Elle a également exercé dans des missions de l'ONU en Haïti, en République Centrafricaine et en Somalie, où elle a occupé divers postes, notamment celui de responsable des affaires civiles, d'analyste de mission, de responsable de la planification de la mission et d'assistante spéciale. Elle a commencé sa carrière internationale avec l'OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) en Croatie et au Kosovo.
De nationalité britannique, Alexandra Simpson est titulaire d'une maîtrise en administration publique et développement de l'université de Birmingham (Royaume-Uni) et d'une licence en gestion et en français de l'université de Bradford (Royaume-Uni). Elle parle anglais, français, espagnol, norvégien et apprend le swahili.
Alexandra a plus de 20 ans d'expérience au sein des Nations Unies et d'organisations apparentées, ayant travaillé dans les domaines de l'humanitaire, du développement et de la paix. Elle possède une large expérience dans les questions liées à l'intégration des Nations unies, à la transition des opérations du maintien de la paix et au développement durable, y compris les migrations. Avant de rejoindre la RDC, Alexandra a dirigé le centre d'analyse de la mission conjointe de la Force intérimaire de sécurité des Nations unies dans la région d’Abiyé (FISNUA/UNISFA), où elle a œuvré sur l'analyse complète de tous les facteurs ayant un impact sur la présence des Nations unies, en étroite coordination avec les agences, les fonds et les programmes.
Alexandra a été chef d'équipe RCO en Afghanistan, au Soudan et aux Philippines. Elle a également exercé dans des missions de l'ONU en Haïti, en République Centrafricaine et en Somalie, où elle a occupé divers postes, notamment celui de responsable des affaires civiles, d'analyste de mission, de responsable de la planification de la mission et d'assistante spéciale. Elle a commencé sa carrière internationale avec l'OSCE (Organisation pour la Sécurité et la Coopération en Europe) en Croatie et au Kosovo.
De nationalité britannique, Alexandra Simpson est titulaire d'une maîtrise en administration publique et développement de l'université de Birmingham (Royaume-Uni) et d'une licence en gestion et en français de l'université de Bradford (Royaume-Uni). Elle parle anglais, français, espagnol, norvégien et apprend le swahili.
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Médecin, agrégé de médecine et de diabétologie certifié par le Conseil de l’Ordre des Médecins des Etats Unis d’Amériques, le Dr Sambo est titulaire d’un Master’s en épidémiologie et santé publique et d’un PhD en épidémiologie obtenu au Centre des Sciences de la santé de l’Université d’Oklahoma (États Unis d’Amérique).
Le Dr Sambo a occupé divers postes universitaires et académiques. Il a notamment été Professeur assistant à la Faculté de Médecine du Centre des Sciences de la Sante de l’Université d’Oklahoma (États-Unis) et Professeur de diabétologie et d’épidémiologie à la Faculté de Médecine de l’Université de Floride à Gainesville (États-Unis).
Avant d’être nommé à son poste actuel de Chef de Mission et de Représentant résident de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) en République démocratique du Congo, le Dr Sambo a occupé le poste de Chef de Mission et Représentant de l’OMS en République fédérale démocratique d’Éthiopie pendant trois ans et demi. Le Dr Sambo était auparavant le Directeur du Département Climat et déterminants de la santé au Siège de l’OMS à Genève (Suisse). Il a par ailleurs été Représentant de l’OMS au Gabon pendant cinq ans et Représentant de l’OMS au Rwanda.
Au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, le Dr Sambo a occupé le poste de Conseiller régional et chef de secteur de programme Lutte contre les maladies non transmissibles. Avant de rejoindre l’OMS à Brazzaville (Congo), le Dr Sambo était Directeur national de la santé et Médecin-chef des Services de santé au Ministère de la santé publique du Niger.
Dr Sambo a été Médecin-Chef de District (District Médical de Téra) et Médecin-Chef et Directeur Provincial de la Santé de Dosso en République du Niger.
Le Dr Sambo a occupé divers postes universitaires et académiques. Il a notamment été Professeur assistant à la Faculté de Médecine du Centre des Sciences de la Sante de l’Université d’Oklahoma (États-Unis) et Professeur de diabétologie et d’épidémiologie à la Faculté de Médecine de l’Université de Floride à Gainesville (États-Unis).
Avant d’être nommé à son poste actuel de Chef de Mission et de Représentant résident de l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) en République démocratique du Congo, le Dr Sambo a occupé le poste de Chef de Mission et Représentant de l’OMS en République fédérale démocratique d’Éthiopie pendant trois ans et demi. Le Dr Sambo était auparavant le Directeur du Département Climat et déterminants de la santé au Siège de l’OMS à Genève (Suisse). Il a par ailleurs été Représentant de l’OMS au Gabon pendant cinq ans et Représentant de l’OMS au Rwanda.
Au Bureau régional de l’OMS pour l’Afrique, le Dr Sambo a occupé le poste de Conseiller régional et chef de secteur de programme Lutte contre les maladies non transmissibles. Avant de rejoindre l’OMS à Brazzaville (Congo), le Dr Sambo était Directeur national de la santé et Médecin-chef des Services de santé au Ministère de la santé publique du Niger.
Dr Sambo a été Médecin-Chef de District (District Médical de Téra) et Médecin-Chef et Directeur Provincial de la Santé de Dosso en République du Niger.
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Carla Martinez est la Cheffe du Bureau OCHA en RDC depuis novembre 2022.
Elle a plus de vingt ans d'expérience dans la direction et la coordination de programmes humanitaires et de prévention des conflits dans plus de vingt pays. Avant de rejoindre OCHA RDC, elle occupait le même post de Cheffe du Bureau OCHA au Cameroun et avant elle était la Cheffe adjointe du Bureau OCHA en République centrafricaine.
Elle a également occupé le poste de Chargée Principale des Affaires Politiques au sein du Département des Affaires Politiques des Nations Unies à New York et de point focal global pour la préparation à la réponse aux urgences pour l'UNICEF.
Avant de rejoindre les Nations unies, Mme Martinez a dirigé le département des urgences de Médecins sans Frontières (MSF), le bureau régional de MSF pour le Moyen-Orient à Amman, et a été cheffe de mission de MSF en République centrafricaine, République démocratique du Congo, Tchad, Côte d'Ivoire et Soudan. Elle a également dirigé les interventions d'urgence de MSF dans différents pays d'Afrique, d'Asie, d'Amérique latine et du Moyen-Orient.
En outre, Mme Martinez a dirigé les opérations de l'OIM au Darfour, et a travaillé comme responsable des programmes humanitaires d'Oxfam au Yémen.
Elle est titulaire d'une maîtrise en politique publique de l'université de Princeton et d'un doctorat en physique de l'université Complutense de Madrid.
Elle a plus de vingt ans d'expérience dans la direction et la coordination de programmes humanitaires et de prévention des conflits dans plus de vingt pays. Avant de rejoindre OCHA RDC, elle occupait le même post de Cheffe du Bureau OCHA au Cameroun et avant elle était la Cheffe adjointe du Bureau OCHA en République centrafricaine.
Elle a également occupé le poste de Chargée Principale des Affaires Politiques au sein du Département des Affaires Politiques des Nations Unies à New York et de point focal global pour la préparation à la réponse aux urgences pour l'UNICEF.
Avant de rejoindre les Nations unies, Mme Martinez a dirigé le département des urgences de Médecins sans Frontières (MSF), le bureau régional de MSF pour le Moyen-Orient à Amman, et a été cheffe de mission de MSF en République centrafricaine, République démocratique du Congo, Tchad, Côte d'Ivoire et Soudan. Elle a également dirigé les interventions d'urgence de MSF dans différents pays d'Afrique, d'Asie, d'Amérique latine et du Moyen-Orient.
En outre, Mme Martinez a dirigé les opérations de l'OIM au Darfour, et a travaillé comme responsable des programmes humanitaires d'Oxfam au Yémen.
Elle est titulaire d'une maîtrise en politique publique de l'université de Princeton et d'un doctorat en physique de l'université Complutense de Madrid.
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M. Claude A. Meutchehe Ngomsi est le Chef de Bureau du Programme des Nations Unies pour les Etablissements Humains (ONU-Habitat) en République Démocratique du Congo depuis juin 2022 et Gestionnaire du Portefeuille en Afrique Centrale, Guinée, Mauritanie et Madagascar. Il a assuré les fonctions de Conseiller régional pour l’Afrique Centrale de Janvier 2020 à Mai 2022. Avant ce poste, il a été le Chargé des Programmes des Opérations et représentants d’ONU-Habitat auprès des Pays Francophones d’Afrique (Novembre 2015-Décembre 2019).
Avec plus de 20 ans d’expérience en planification, gouvernance et aménagement urbain et territorial au sein des Nations Unies et comme universitaire, il est spécialisé en géographie de la criminalité et prévention des crises. Il a activement participé à l’élaboration des politiques et stratégiques publiques de développement urbaine et d’urbanisation coordonnée en Afrique au Sud du Sahara. Il a conduit le processus de formulation et mise en œuvre de la stratégie de prévention de l’insécurité et de la culture de la prévention des délits municipaux à Ouagadougou de septembre 2009 à octobre 2013, coordonné le développement de la politique nationale d’urbanisation du Rwanda et du Cameroun tout en soutenant celui du Liberia entre novembre 2013 et décembre 2021. Il a concouru aux initiatives novatrices de la réforme foncière et la planification communautaire d’occupation du sol pour la réduction des conflits en RDC.
Au début de sa carrière il a co-piloté les projets de prévention de la délinquance en Afrique Francophone et coordonné le Plateforme internationale de la Police pour le Développement Urbain (PPDU) de concert avec l’Autorité Suédoise de la Police Nationale, le Service de Police de la Ville de Montréal, l’Institut de Sécurité Publique de Barcelone, l’Office des Nations Unies pour la Drogue et le Crime, et les Polices nationales africaines (2003-2012).
Plutôt dans sa carrière entre 2001 et 2006, il a enseigné à l’Université de Yaoundé I au Cameroun où il a obtenu un Doctorat et une Maitrise en Géographie.
M. Claude A. Meutchehe Ngomsi est marié de nationalité Camerounaise.
Avec plus de 20 ans d’expérience en planification, gouvernance et aménagement urbain et territorial au sein des Nations Unies et comme universitaire, il est spécialisé en géographie de la criminalité et prévention des crises. Il a activement participé à l’élaboration des politiques et stratégiques publiques de développement urbaine et d’urbanisation coordonnée en Afrique au Sud du Sahara. Il a conduit le processus de formulation et mise en œuvre de la stratégie de prévention de l’insécurité et de la culture de la prévention des délits municipaux à Ouagadougou de septembre 2009 à octobre 2013, coordonné le développement de la politique nationale d’urbanisation du Rwanda et du Cameroun tout en soutenant celui du Liberia entre novembre 2013 et décembre 2021. Il a concouru aux initiatives novatrices de la réforme foncière et la planification communautaire d’occupation du sol pour la réduction des conflits en RDC.
Au début de sa carrière il a co-piloté les projets de prévention de la délinquance en Afrique Francophone et coordonné le Plateforme internationale de la Police pour le Développement Urbain (PPDU) de concert avec l’Autorité Suédoise de la Police Nationale, le Service de Police de la Ville de Montréal, l’Institut de Sécurité Publique de Barcelone, l’Office des Nations Unies pour la Drogue et le Crime, et les Polices nationales africaines (2003-2012).
Plutôt dans sa carrière entre 2001 et 2006, il a enseigné à l’Université de Yaoundé I au Cameroun où il a obtenu un Doctorat et une Maitrise en Géographie.
M. Claude A. Meutchehe Ngomsi est marié de nationalité Camerounaise.
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M. Damien Mama est un spécialiste du développement international avec 25 ans d'expériences dans l’appui aux politiques publiques, la gestion des programmes de développement, et la consolidation de la paix en Afrique et dans le monde.
Il a pris fonction comme Représentant résident du PNUD en RDC le 1er mars 2023. Avant son arrivée en RDC, il a servi comme Coordonnateur résident du système des Nations Unies au Burundi et Coordinateur résident ainsi que Représentant du PNUD au Togo.
M. Mama a aussi assumé d’autres fonctions de haut niveau, notamment celle de Chef de l'équipe de supervision des 45 programmes pays au Bureau régional du PNUD pour l'Afrique à New York, Directeur de la stabilisation et du relèvement au sein de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA), Représentant résident adjoint du PNUD au Togo, coordonnateur du programme de relèvement communautaire au PNUD RDC, et Conseiller en planification stratégique au bureau du coordonnateur résident au Soudan du Sud.
Avant de rejoindre les Nations Unies, M. Mama a exercé plusieurs fonctions au sein d’ONG internationales sur la gouvernance concertée et la sécurité alimentaire en Afrique de l'Ouest.
M. Mama est titulaire d'un Master en Management du Développement de l'Université de la Ruhr à Bochum (Allemagne) et d'une Maîtrise en Aménagement du Territoire de l'Université d'Abomey Calavi (Bénin).
De nationalité béninoise, il parle couramment le Français et l'Anglais.
Il a pris fonction comme Représentant résident du PNUD en RDC le 1er mars 2023. Avant son arrivée en RDC, il a servi comme Coordonnateur résident du système des Nations Unies au Burundi et Coordinateur résident ainsi que Représentant du PNUD au Togo.
M. Mama a aussi assumé d’autres fonctions de haut niveau, notamment celle de Chef de l'équipe de supervision des 45 programmes pays au Bureau régional du PNUD pour l'Afrique à New York, Directeur de la stabilisation et du relèvement au sein de la Mission multidimensionnelle intégrée des Nations Unies pour la stabilisation au Mali (MINUSMA), Représentant résident adjoint du PNUD au Togo, coordonnateur du programme de relèvement communautaire au PNUD RDC, et Conseiller en planification stratégique au bureau du coordonnateur résident au Soudan du Sud.
Avant de rejoindre les Nations Unies, M. Mama a exercé plusieurs fonctions au sein d’ONG internationales sur la gouvernance concertée et la sécurité alimentaire en Afrique de l'Ouest.
M. Mama est titulaire d'un Master en Management du Développement de l'Université de la Ruhr à Bochum (Allemagne) et d'une Maîtrise en Aménagement du Territoire de l'Université d'Abomey Calavi (Bénin).
De nationalité béninoise, il parle couramment le Français et l'Anglais.
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M. Danquah a plus de 24 ans d'expérience dans le domaine de la sécurité au sein des Nations unies, après avoir passé 16 ans dans l'armée ghanéenne, au cours desquels il a participé à des missions de maintien de la paix au Liban (1988 et 1992), au Rwanda (1993-1994), en Sierra Leone (1998-1999) et au Libéria (1990 et 1997-1998). M. Danquah est conseiller principal en matière de sécurité, auprès de l'UNDSS en Syrie depuis novembre 2020.
Auparavant, il a travaillé comme conseiller principal en matière de sécurité au Soudan (2017-2020), au Tchad (2014-2017), en Côte d'Ivoire (2012-2014), au Burundi (2010-2012) et au Nigéria (2007-2009). Il a rejoint l'UNDSS en tant que conseiller en sécurité au Cameroun en 2004 après avoir travaillé comme chef d'équipe/enquêteur pendant 5 ans pour le Tribunal pénal international pour le Rwanda (UNICTR) à partir de 1999. M. Danquah a également participé à des missions d'urgence à Banda Aceh, en Indonésie (2005) et à Mansehra, au Pakistan (2006), après le tsunami et le tremblement de terre.
Il parle couramment l'anglais et le français. M. Danquah est titulaire d'un master en politique internationale et diplomatie de l'université de Staffordshire et d'une licence en politique et relations internationales de l'université de Londres (Royaume-Uni). En outre, il a poursuivi sa formation professionnelle et obtenu des certificats auprès de l'École des cadres du système des Nations unies et d'autres organisations universitaires dans les domaines suivants : direction exécutive, lutte contre le terrorisme et le crime organisé, analyse des conflits pour la prévention et la consolidation de la paix, médiation, observation des élections, gestion de projets dans le secteur des ONG, gestion des prises d'otages, enquêtes criminelles, désarmement, démobilisation et réintégration, et techniques d'enquête.
Né en 1961, M. Danquah est marié et père de trois enfants. Il est membre associé de Chatham House, au Royaume-Uni, et aime le football, lire des magazines et écouter de la musique country.
Auparavant, il a travaillé comme conseiller principal en matière de sécurité au Soudan (2017-2020), au Tchad (2014-2017), en Côte d'Ivoire (2012-2014), au Burundi (2010-2012) et au Nigéria (2007-2009). Il a rejoint l'UNDSS en tant que conseiller en sécurité au Cameroun en 2004 après avoir travaillé comme chef d'équipe/enquêteur pendant 5 ans pour le Tribunal pénal international pour le Rwanda (UNICTR) à partir de 1999. M. Danquah a également participé à des missions d'urgence à Banda Aceh, en Indonésie (2005) et à Mansehra, au Pakistan (2006), après le tsunami et le tremblement de terre.
Il parle couramment l'anglais et le français. M. Danquah est titulaire d'un master en politique internationale et diplomatie de l'université de Staffordshire et d'une licence en politique et relations internationales de l'université de Londres (Royaume-Uni). En outre, il a poursuivi sa formation professionnelle et obtenu des certificats auprès de l'École des cadres du système des Nations unies et d'autres organisations universitaires dans les domaines suivants : direction exécutive, lutte contre le terrorisme et le crime organisé, analyse des conflits pour la prévention et la consolidation de la paix, médiation, observation des élections, gestion de projets dans le secteur des ONG, gestion des prises d'otages, enquêtes criminelles, désarmement, démobilisation et réintégration, et techniques d'enquête.
Né en 1961, M. Danquah est marié et père de trois enfants. Il est membre associé de Chatham House, au Royaume-Uni, et aime le football, lire des magazines et écouter de la musique country.
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Avec une carrière de près de 30 ans au sein des Nations unies, Elvira Pruscini a occupé divers postes au sein du HCR et du Programme alimentaire mondial à travers le monde, couvrant les situations d'urgence, le post-conflit, la réponse aux réfugiés, le relèvement précoce et le développement.
Sa carrière d'humanitaire l'a conduite au Rwanda, en République démocratique du Congo, en Sierra Leone, au Soudan, au Mozambique, en Haïti et au Cameroun. Elle a été Directrice régionale adjointe à Dakar et, plus récemment, Directrice pays et représentante au Burkina Faso.
Mme Pruscini a dirigé des bureaux sur le terrain et géré des opérations très complexes dans des bureaux nationaux. Son expertise porte sur la conception et la mise en œuvre de programmes, les opérations d'urgence, le suivi sur le terrain, la gestion des risques et l'établissement de rapports.
Mme Pruscini dirige le suivi et l'établissement de rapports pour le PAM, au Quartier Général à Rome depuis août 2024. Elle est actuellement directrice de pays et représentante par intérim du PAM en République démocratique du Congo, où elle supervise une opération d'urgence et de développement complexe, avec une équipe de plus de 650 personnes.
Elvira est née en Érythrée et a grandi en Italie. Elle est titulaire d'un master en développement rural et planification de l'université d'East Anglia, au Royaume-Uni, et d'un master en relations internationales de l'université de Pérouse, en Italie. Elle parle plusieurs langues, dont l'anglais, le français, le portugais, l'italien, le tigrigna, l'amharique et l'arabe.
Sa carrière d'humanitaire l'a conduite au Rwanda, en République démocratique du Congo, en Sierra Leone, au Soudan, au Mozambique, en Haïti et au Cameroun. Elle a été Directrice régionale adjointe à Dakar et, plus récemment, Directrice pays et représentante au Burkina Faso.
Mme Pruscini a dirigé des bureaux sur le terrain et géré des opérations très complexes dans des bureaux nationaux. Son expertise porte sur la conception et la mise en œuvre de programmes, les opérations d'urgence, le suivi sur le terrain, la gestion des risques et l'établissement de rapports.
Mme Pruscini dirige le suivi et l'établissement de rapports pour le PAM, au Quartier Général à Rome depuis août 2024. Elle est actuellement directrice de pays et représentante par intérim du PAM en République démocratique du Congo, où elle supervise une opération d'urgence et de développement complexe, avec une équipe de plus de 650 personnes.
Elvira est née en Érythrée et a grandi en Italie. Elle est titulaire d'un master en développement rural et planification de l'université d'East Anglia, au Royaume-Uni, et d'un master en relations internationales de l'université de Pérouse, en Italie. Elle parle plusieurs langues, dont l'anglais, le français, le portugais, l'italien, le tigrigna, l'amharique et l'arabe.
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George Neba Akwah est chef d'équipe du programme du PNUE pour le bassin du Congo. Il possède une vaste expérience dans la recherche, la politique et la pratique de la conservation de la nature, des forêts et de la gestion des ressources naturelles et du développement durable. Il apporte à son rôle et à l'ensemble du système l'expertise et les compétences nécessaires pour assurer l'intégration transversale et la prise en compte des dimensions complexes environnement-nature-société dans la programmation.
Avant de rejoindre les Nations Unies, George a travaillé avec de nombreuses organisations internationales de premier plan et son expérience couvre l'Afrique centrale, l'Afrique de l'Ouest, l'Afrique de l'Est, l'Amérique latine et l'Asie du Sud-Est, ainsi qu'au niveau de la politique mondiale. Il connaît très bien et possède l'expérience dans le Bassin du Congo et la dynamique de la RDC.
Avant de rejoindre les Nations Unies, George a travaillé avec de nombreuses organisations internationales de premier plan et son expérience couvre l'Afrique centrale, l'Afrique de l'Ouest, l'Afrique de l'Est, l'Amérique latine et l'Asie du Sud-Est, ainsi qu'au niveau de la politique mondiale. Il connaît très bien et possède l'expérience dans le Bassin du Congo et la dynamique de la RDC.
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Dr. Isaias Barreto da Rosa est le représentant de l'UNESCO en RDC et chef du bureau de Kinshasa depuis le 1ᵉʳ mai 2022. Il a précédemment travaillé comme PDG de l'Agence de Régulation Multisectorielle de l'Économie (ARME), Cap-Vert entre 2018 et 2022, et le premier Commissaire de la CEDEAO en charge des Télécommunications et des Technologies de l'Information entre 2014 et 2018.
Il a conclu son post-doctorat à l'Université de Tallinn, en Estonie. Il est titulaire d'un diplôme d'études supérieures et d'un doctorat en éducation et développement humain (Université de Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne), une maîtrise en Développement de la Gestion (École de Gestion Euro-Arabe, Grenade, Espagne) et une licence en Informatique (Faculté des sciences, Université de Lisbonne, Portugal). Le Dr. Isaias Barreto da Rosa est instructeur Cisco Academy à l'Université Centrale d'Angleterre, au Royaume-Uni, et à l'Université métropolitaine Nelson Mandela, en Afrique du Sud.
Avant de rejoindre la CEDEAO, il a travaillé comme programmeur et analyste informatique au Centre d’Étude des Problèmes d’Information de l’Université Catholique Portugaise (Portugal) ; chercheur à l'Université de Tallinn, Estonie ; professeur à l'Université Jean Piaget du Cap-Vert pendant 13 ans, où il a également assumé plusieurs autres responsabilités telles que Chef du Département des Sciences et Technologies, Directeur de la Division Technologique ; Directeur du Laboratoire d’Éducation Digital, Manager de l’Académie Cisco, Manager de l’Académie Microsoft, etc.
Le Dr. Isaias Barreto da Rosa a par ailleurs, été consultant pour le gouvernement et les institutions du Cap-Vert et plusieurs organisations internationales. Il a donné des conférences dans plusieurs pays et a des dizaines de publications scientifiques dans des revues et des actes de conférences internationales.
Il a conclu son post-doctorat à l'Université de Tallinn, en Estonie. Il est titulaire d'un diplôme d'études supérieures et d'un doctorat en éducation et développement humain (Université de Saint-Jacques-de-Compostelle, Espagne), une maîtrise en Développement de la Gestion (École de Gestion Euro-Arabe, Grenade, Espagne) et une licence en Informatique (Faculté des sciences, Université de Lisbonne, Portugal). Le Dr. Isaias Barreto da Rosa est instructeur Cisco Academy à l'Université Centrale d'Angleterre, au Royaume-Uni, et à l'Université métropolitaine Nelson Mandela, en Afrique du Sud.
Avant de rejoindre la CEDEAO, il a travaillé comme programmeur et analyste informatique au Centre d’Étude des Problèmes d’Information de l’Université Catholique Portugaise (Portugal) ; chercheur à l'Université de Tallinn, Estonie ; professeur à l'Université Jean Piaget du Cap-Vert pendant 13 ans, où il a également assumé plusieurs autres responsabilités telles que Chef du Département des Sciences et Technologies, Directeur de la Division Technologique ; Directeur du Laboratoire d’Éducation Digital, Manager de l’Académie Cisco, Manager de l’Académie Microsoft, etc.
Le Dr. Isaias Barreto da Rosa a par ailleurs, été consultant pour le gouvernement et les institutions du Cap-Vert et plusieurs organisations internationales. Il a donné des conférences dans plusieurs pays et a des dizaines de publications scientifiques dans des revues et des actes de conférences internationales.
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De nationalité camerounaise, Dr John Agbor est un professionnel de santé publique avec une vaste expérience de plus de deux décennies dans l'aide humanitaire et le développement international.
Avant de prendre ses fonctions en RDC, M. Agbor était Représentant de l'UNICEF au Burkina Faso (2023-2025) et au Burundi (2020-2023). Son parcours à l'UNICEF inclut également des rôles clés dans la survie de l'enfant et l'éradication de la poliomyélite en RDC, au Libéria, en Somalie, au Nigeria et au Pakistan.
Avant de rejoindre l'UNICEF, John Agbor a travaillé pour l'OMS en Somalie et a occupé divers postes de coordination médicale et de Chef de mission avec Médécins Sans Frontières (MSF) dans plusieurs pays africains.
Médecin de formation, diplômé de l'Université de Yaoundé I, avec des spécialisations en santé publique des universités de Bruxelles et de Nancy, Dr Agbor apporte un leadership éclairé et une expertise approfondie pour faire progresser les droits de l'enfant en RDC.
Avant de prendre ses fonctions en RDC, M. Agbor était Représentant de l'UNICEF au Burkina Faso (2023-2025) et au Burundi (2020-2023). Son parcours à l'UNICEF inclut également des rôles clés dans la survie de l'enfant et l'éradication de la poliomyélite en RDC, au Libéria, en Somalie, au Nigeria et au Pakistan.
Avant de rejoindre l'UNICEF, John Agbor a travaillé pour l'OMS en Somalie et a occupé divers postes de coordination médicale et de Chef de mission avec Médécins Sans Frontières (MSF) dans plusieurs pays africains.
Médecin de formation, diplômé de l'Université de Yaoundé I, avec des spécialisations en santé publique des universités de Bruxelles et de Nancy, Dr Agbor apporte un leadership éclairé et une expertise approfondie pour faire progresser les droits de l'enfant en RDC.
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Dr. Mady Biaye est un expert du développement international et un manager chevronné et hautement motivé dans le domaine de population et de développement, avec plus de 30 ans d'expérience professionnelle au niveau international.
Il a travaillé comme Représentant de l’UNFPA en Angola (2020-2024), en Guinée Equatoriale (2016-2020), et comme Conseiller Technique Régional de l’UNFPA sur la politique des données démographiques (2008-2016) à l'UNFPA ESARO à Johannesburg, en Afrique du Sud, et comme Conseiller Technique Régional de l’UNFPA et de la CEA sur les données démographiques, l'analyse et la recherche (2001-2008) à l'Equipe d’Appui Technique (CST) de l’UNFPA pour l'Afrique australe à Harare, au Zimbabwe. Auparavant, il a travaillé en tant que Spécialiste et Conseiller Principal de 1995 à 2001 pour diverses agences du système des Nations Unies au Cabo Verde, au Mozambique, à Sao Tomé-et-Principe et à Washington D.C.
Dr. Biaye a également été Coordonnateur Résident des Nations Unies par intérim / Fonctionnaire désigné pour la sécurité en Guinée Equatoriale (2018-2020).
Il a été enseignant et chercheur à plein temps à l'Université Catholique de Louvain (UCL) en Belgique (1989-1994), et à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et à l'École Nationale d'Economie Appliquée (ENEA) au Sénégal (1984-1987) où il a également été Chef adjoint du Département de la Statistique et de la Démographie.
Outre ses compétences techniques, Dr. Biaye est connu pour ses qualités de leader, ses compétences interpersonnelles et sa capacité à inspirer et à motiver les équipes pour qu'elles atteignent leurs objectifs. Son approche collaborative, associée à son engagement en faveur de la justice sociale et des droits de l'homme, lui a valu le respect et l'admiration de ses collègues et de ses partenaires.
En assumant ce rôle important, Dr. Biaye apporte une richesse d'expérience, d'expertise, de dévouement et de passion pour les questions qui animent notre travail à l'UNFPA. Son leadership et sa vision renforceront sans aucun doute nos efforts pour promouvoir la santé reproductive, l'égalité des sexes, l'autonomisation des populations, ainsi que les droits et la participation inclusive des femmes, des filles et des jeunes en tant qu'agents de changement pour une transformation sociale positive en RDC.
Dr. Biaye est polyglotte et titulaire d'un Diplôme d'Ingénieur-Statisticien de l’ENEA au Sénégal, d'un Diplôme de troisième cycle, d'une Maîtrise de troisième cycle et d'un Doctorat d’Etat en Démographie de l’UCL en Belgique, et est candidat au Master II en Défense, Sécurité et Paix au Centre des Hautes Etudes de Défense et Sécurité (CHEDS) au Sénégal.
Né au Sénégal, Dr Biaye possède également la nationalité du Cabo Verde. Il est marié et père de deux enfants.
Il a travaillé comme Représentant de l’UNFPA en Angola (2020-2024), en Guinée Equatoriale (2016-2020), et comme Conseiller Technique Régional de l’UNFPA sur la politique des données démographiques (2008-2016) à l'UNFPA ESARO à Johannesburg, en Afrique du Sud, et comme Conseiller Technique Régional de l’UNFPA et de la CEA sur les données démographiques, l'analyse et la recherche (2001-2008) à l'Equipe d’Appui Technique (CST) de l’UNFPA pour l'Afrique australe à Harare, au Zimbabwe. Auparavant, il a travaillé en tant que Spécialiste et Conseiller Principal de 1995 à 2001 pour diverses agences du système des Nations Unies au Cabo Verde, au Mozambique, à Sao Tomé-et-Principe et à Washington D.C.
Dr. Biaye a également été Coordonnateur Résident des Nations Unies par intérim / Fonctionnaire désigné pour la sécurité en Guinée Equatoriale (2018-2020).
Il a été enseignant et chercheur à plein temps à l'Université Catholique de Louvain (UCL) en Belgique (1989-1994), et à l'Université Cheikh Anta Diop de Dakar (UCAD) et à l'École Nationale d'Economie Appliquée (ENEA) au Sénégal (1984-1987) où il a également été Chef adjoint du Département de la Statistique et de la Démographie.
Outre ses compétences techniques, Dr. Biaye est connu pour ses qualités de leader, ses compétences interpersonnelles et sa capacité à inspirer et à motiver les équipes pour qu'elles atteignent leurs objectifs. Son approche collaborative, associée à son engagement en faveur de la justice sociale et des droits de l'homme, lui a valu le respect et l'admiration de ses collègues et de ses partenaires.
En assumant ce rôle important, Dr. Biaye apporte une richesse d'expérience, d'expertise, de dévouement et de passion pour les questions qui animent notre travail à l'UNFPA. Son leadership et sa vision renforceront sans aucun doute nos efforts pour promouvoir la santé reproductive, l'égalité des sexes, l'autonomisation des populations, ainsi que les droits et la participation inclusive des femmes, des filles et des jeunes en tant qu'agents de changement pour une transformation sociale positive en RDC.
Dr. Biaye est polyglotte et titulaire d'un Diplôme d'Ingénieur-Statisticien de l’ENEA au Sénégal, d'un Diplôme de troisième cycle, d'une Maîtrise de troisième cycle et d'un Doctorat d’Etat en Démographie de l’UCL en Belgique, et est candidat au Master II en Défense, Sécurité et Paix au Centre des Hautes Etudes de Défense et Sécurité (CHEDS) au Sénégal.
Né au Sénégal, Dr Biaye possède également la nationalité du Cabo Verde. Il est marié et père de deux enfants.
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M. Mravili Athman, de nationalité Comorienne, est le Représentant ai. de la FAO en République démocratique du Congo. Il occupe la fonction de Coordonnateur sous-régional de l’Organisation des Nations Unies pour l’Agriculture et l’Alimentation (FAO) en Afrique centrale et Représentant au Gabon.
Spécialiste en médecine vétérinaire, Mravili Athman est titulaire d’un Doctorat de l’école nationale de médecine vétérinaire de Sidi Thabet en Tunisie et d’un Mastère en épidémiologie animale du CIRAD-EMVT en France.
Il cumule une riche expérience professionnelle acquise essentiellement au sein de plusieurs organisations internationales et à la FAO. Athman Mravili était précédemment Représentant de la FAO au Cameroun. Il entre à la FAO en janvier 2009 en tant que Fonctionnaire chargé de l’élevage au Bureau sous régional pour l’Afrique centrale à Libreville, Gabon. De novembre 2009 à 2013, il est Représentant de la FAO en Guinée équatoriale, en poste à Malabo. De 2013 à avril 2018, il est Représentant de la FAO en Mauritanie, en poste à Nouakchott.
Il débute sa carrière en 1985, en tant que Professeur de biologie et de mathématiques pour le ministère de l’Éducation des Comores. De 1994 à 1998, il est Chef de Projet pour le compte de Vétérinaires Sans Frontières à Prey Veng au Cambodge et à Macenta, en Guinée. De 1999 à 2009, il travaille pour Handicap International, assumant des fonctions de responsabilités croissantes comme Consultant en élevage à Berbera en Somalie, Responsable en production animale en République démocratique du Lao ; Conseiller technique (élevage) à Kigali au Rwanda ; Directeur de pays à Nairobi, Kenya ; Directeur de pays à Dakar au Sénégal et Responsable du Bureau Afrique de l’Est à Lyon, France.
Spécialiste en médecine vétérinaire, Mravili Athman est titulaire d’un Doctorat de l’école nationale de médecine vétérinaire de Sidi Thabet en Tunisie et d’un Mastère en épidémiologie animale du CIRAD-EMVT en France.
Il cumule une riche expérience professionnelle acquise essentiellement au sein de plusieurs organisations internationales et à la FAO. Athman Mravili était précédemment Représentant de la FAO au Cameroun. Il entre à la FAO en janvier 2009 en tant que Fonctionnaire chargé de l’élevage au Bureau sous régional pour l’Afrique centrale à Libreville, Gabon. De novembre 2009 à 2013, il est Représentant de la FAO en Guinée équatoriale, en poste à Malabo. De 2013 à avril 2018, il est Représentant de la FAO en Mauritanie, en poste à Nouakchott.
Il débute sa carrière en 1985, en tant que Professeur de biologie et de mathématiques pour le ministère de l’Éducation des Comores. De 1994 à 1998, il est Chef de Projet pour le compte de Vétérinaires Sans Frontières à Prey Veng au Cambodge et à Macenta, en Guinée. De 1999 à 2009, il travaille pour Handicap International, assumant des fonctions de responsabilités croissantes comme Consultant en élevage à Berbera en Somalie, Responsable en production animale en République démocratique du Lao ; Conseiller technique (élevage) à Kigali au Rwanda ; Directeur de pays à Nairobi, Kenya ; Directeur de pays à Dakar au Sénégal et Responsable du Bureau Afrique de l’Est à Lyon, France.
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Madame Nteba Soumano assure depuis août 2021 la fonction de Représentante ad-intérim du bureau de l’OIT à Kinshasa pour la RDC, le Congo, la RCA, le Tchad, l’Angola et le Gabon. Elle possède une solide expérience dans les processus de planification stratégique, de mobilisation de ressources, de formulation, management et évaluation de projets, dans la coopération inter-agences du Système des Nations Unies et avec les partenaires au développement, ce, de par ses fonctions de spécialiste en développement de compétences et employabilité qu’elle assure depuis Octobre 2016 pour la sous-régions de l’Afrique centrale, pareillement à sa fonction de représentante ad. Intérim.
Diplômée de l’Université technique de Berlin en Allemagne (DEA), Madame Soumano possède une expérience professionnelle de plus de 20 années dans le secteur du développement, elle a rejoint le bureau de l’OIT au Sénégal en Janvier 2001 où elle a assuré les fonctions de Conseiller Technique Principal de plusieurs projets emplois d’envergure sous régionale et assuré un appui conseil aux équipes de travail décent du BIT, aux Gouvernements, organisations d’employeurs et de Travailleurs dans la mise en œuvre de l’agenda du Travail décent notamment sur les questions relatives à la promotion de l’emploi rural, le développement des entreprises, la formation professionnelle: formulation de politique, amélioration de l’employabilité et de la qualité de la main d’œuvre nationale.
Diplômée de l’Université technique de Berlin en Allemagne (DEA), Madame Soumano possède une expérience professionnelle de plus de 20 années dans le secteur du développement, elle a rejoint le bureau de l’OIT au Sénégal en Janvier 2001 où elle a assuré les fonctions de Conseiller Technique Principal de plusieurs projets emplois d’envergure sous régionale et assuré un appui conseil aux équipes de travail décent du BIT, aux Gouvernements, organisations d’employeurs et de Travailleurs dans la mise en œuvre de l’agenda du Travail décent notamment sur les questions relatives à la promotion de l’emploi rural, le développement des entreprises, la formation professionnelle: formulation de politique, amélioration de l’employabilité et de la qualité de la main d’œuvre nationale.
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Dr Patrice Vahard, est le Représentant du Haut-Commissaire des Nations Unies aux Droits de l’Homme (ONU Droits de l’Homme) et Directeur du Bureau Conjoint des Nations Unies aux droits de l’Homme en RDC. Avant d’arriver en République démocratique du Congo, il été le représentant et chef du bureau de ONU Droits de l’Homme en République de Guinée ou il a assumé régulièrement les fonctions de Coordonnateur résident ai et Officier Désigné ai.
Il a occupé des postes à responsabilité au sein de la Mission des Nations Unies en Sierra Leone, Conseiller régional en charge des relations avec la Commission de l’Union africaine au sein du bureau régional de ONU Droits de l’Homme (Addis-Abeba), dans une mission politique spéciale, le Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (Dakar); ainsi qu'à la tête du bureau du Bureau pays de ONU Droits de l’Homme au Burundi. Il est titulaire de deux doctorats respectivement en droit international des droits de l'homme (droit au développement) et en sociologie de la gouvernance.
Avant de rejoindre les Nations Unies, Dr Patrice a servie à divers postes de responsabilité au sein d’Amnesty International dont il fut le premier directeur régional pour l’Afrique.
De nationalité ivoirienne, Dr Patrice parle couramment l’anglais, le français et plusieurs langues africaines.
Il a occupé des postes à responsabilité au sein de la Mission des Nations Unies en Sierra Leone, Conseiller régional en charge des relations avec la Commission de l’Union africaine au sein du bureau régional de ONU Droits de l’Homme (Addis-Abeba), dans une mission politique spéciale, le Bureau des Nations Unies pour l’Afrique de l’Ouest et le Sahel (Dakar); ainsi qu'à la tête du bureau du Bureau pays de ONU Droits de l’Homme au Burundi. Il est titulaire de deux doctorats respectivement en droit international des droits de l'homme (droit au développement) et en sociologie de la gouvernance.
Avant de rejoindre les Nations Unies, Dr Patrice a servie à divers postes de responsabilité au sein d’Amnesty International dont il fut le premier directeur régional pour l’Afrique.
De nationalité ivoirienne, Dr Patrice parle couramment l’anglais, le français et plusieurs langues africaines.
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Ressortissant du Burkina Faso, René Tapsoba a pris officiellement ses nouvelles fonctions Représentant Résident du FMI en RDC en octobre 2024.
Il est titulaire d’un doctorat en économie du développement du CERDI (Université d’Auvergne, en France), pour lequel il a reçu le prix de meilleur doctorat de l’Institut CEDIMES à la Sorbonne en 2012. Ses travaux, publiés dans divers journaux et magazines économiques, couvrent plusieurs domaines tels que la politique budgétaire, la politique monétaire et de taux de change, l’economie du développement, ainsi que de la modélisation macroéconomique.
Ses travaux de recherche ont également fait l’objet d’autres distinctions en France et au Burkina Faso. Il a enseigné à l’Université d’Auvergne avant de rejoindre le Fonds monétaire international en 2012, où il a travaillé au Département Afrique et au Département des finances publiques. Avant sa présente nomination comme Représentant Résident du FMI en RDC, il était économiste principal du FMI en charge des institutions régionales de la CEMAC. Préalablement, il a été Représentant Résident du FMI au Mali de 2018 à 2021. Il a également exercé le rôle d’économiste en charge des questions budgétaires pour la Jordanie et la Tanzanie, et a participé à de nombreuses missions de renforcement des capacités au profit de pays comme l’Inde, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, la Guinée, l’Azerbaïdjan, etc.
Il est titulaire d’un doctorat en économie du développement du CERDI (Université d’Auvergne, en France), pour lequel il a reçu le prix de meilleur doctorat de l’Institut CEDIMES à la Sorbonne en 2012. Ses travaux, publiés dans divers journaux et magazines économiques, couvrent plusieurs domaines tels que la politique budgétaire, la politique monétaire et de taux de change, l’economie du développement, ainsi que de la modélisation macroéconomique.
Ses travaux de recherche ont également fait l’objet d’autres distinctions en France et au Burkina Faso. Il a enseigné à l’Université d’Auvergne avant de rejoindre le Fonds monétaire international en 2012, où il a travaillé au Département Afrique et au Département des finances publiques. Avant sa présente nomination comme Représentant Résident du FMI en RDC, il était économiste principal du FMI en charge des institutions régionales de la CEMAC. Préalablement, il a été Représentant Résident du FMI au Mali de 2018 à 2021. Il a également exercé le rôle d’économiste en charge des questions budgétaires pour la Jordanie et la Tanzanie, et a participé à de nombreuses missions de renforcement des capacités au profit de pays comme l’Inde, la Côte d’Ivoire, le Sénégal, la Guinée, l’Azerbaïdjan, etc.
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Susan Kasedde est la Directrice Pays de l’ONUSIDA en République Démocratique du Congo, après l’intérim au même poste en Guyane et Suriname depuis le 1er avril 2020. Depuis février 2017, Susan a occupé le poste de représentante de l'UNICEF dans le pays et fonctionnaire désignée pour la sûreté et la sécurité du personnel des Nations Unies au Belize, dirigeant le programme de l'UNICEF visant à soutenir les résultats en matière de protection sociale, d'éducation et d'apprentissage tout au long de la vie, de prévention de la violence et d'accès à la justice, et de santé, afin de renforcer les systèmes et les capacités institutionnelles pour obtenir un développement durable et à l'équité pour les enfants. De février à septembre 2019, Susan a également occupé le poste de coordinateur résident a.i. des Nations unies au Belize.
Auparavant, Susan a été pendant sept ans conseillère principale VIH et chef de l'équipe mondiale sur les adolescents et le VIH au siège de l'UNICEF, coordinatrice nationale a.i. de l'ONUSIDA en Namibie et pendant trois ans conseillère régionale en VIH/Sida pour l'ONUSIDA en Afrique orientale et australe.
Susan a également travaillé pendant quatre ans pour l'UNICEF Ouganda, deux de ces années en tant que chef intérimaire du VIH et les deux autres en tant que responsable de projet, planification, suivi et évaluation. De nationalité ougandaise, Susan a été directrice adjointe des programmes et chef de la division de suivi et d'évaluation de la Fondation Straight Talk, le plus grand programme national de santé sexuelle et reproductive des adolescents (ASRH) en Ouganda et un centre régional d'excellence au service de l'Afrique subsaharienne.
Elle est épidémiologiste de formation et a passé quatre ans à travailler sur la recherche en biologie moléculaire axée sur le cancer des enfants à l'hôpital pour enfants de Philadelphie.
Elle est titulaire d'un doctorat en santé publique et d'un diplôme en médecine tropicale de London School of Hygiène and Tropical Médicine, d'une maîtrise en santé publique de l'université de Boston et d'une licence en sciences appliquées (sciences biomédicales) et en arts (français) de l'université de Pennsylvanie. Elle parle le luganda, le lusoga, l'anglais et le français. Elle est mariée et mère de deux enfants.
Auparavant, Susan a été pendant sept ans conseillère principale VIH et chef de l'équipe mondiale sur les adolescents et le VIH au siège de l'UNICEF, coordinatrice nationale a.i. de l'ONUSIDA en Namibie et pendant trois ans conseillère régionale en VIH/Sida pour l'ONUSIDA en Afrique orientale et australe.
Susan a également travaillé pendant quatre ans pour l'UNICEF Ouganda, deux de ces années en tant que chef intérimaire du VIH et les deux autres en tant que responsable de projet, planification, suivi et évaluation. De nationalité ougandaise, Susan a été directrice adjointe des programmes et chef de la division de suivi et d'évaluation de la Fondation Straight Talk, le plus grand programme national de santé sexuelle et reproductive des adolescents (ASRH) en Ouganda et un centre régional d'excellence au service de l'Afrique subsaharienne.
Elle est épidémiologiste de formation et a passé quatre ans à travailler sur la recherche en biologie moléculaire axée sur le cancer des enfants à l'hôpital pour enfants de Philadelphie.
Elle est titulaire d'un doctorat en santé publique et d'un diplôme en médecine tropicale de London School of Hygiène and Tropical Médicine, d'une maîtrise en santé publique de l'université de Boston et d'une licence en sciences appliquées (sciences biomédicales) et en arts (français) de l'université de Pennsylvanie. Elle parle le luganda, le lusoga, l'anglais et le français. Elle est mariée et mère de deux enfants.
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De nationalité américaine, Mme Tatiana Wah est la représentante et directrice du Bureau multipays de l'UNOPS en Afrique centrale (CDMCO), dont le siège est à Kinshasa, en République démocratique du Congo. Elle dirige et gère les activités de l'organisation en matière d'infrastructure, de gestion de projets et de passation de marchés dans 11 pays, dont l'Angola, le Burundi, le Cameroun, la République centrafricaine, les Comores, le Gabon, la Guinée équatoriale, la République démocratique du Congo, la République du Congo, Madagascar et le Rwanda. Beaucoup, parmi eux, font partie des États les plus fragiles et les moins développés du monde.
Mme Wah a plus de 25 ans d'expérience dans les pratiques et politiques de développement durable dans les secteurs privé, universitaire, gouvernemental et des ONG. Elle possède une vaste connaissance des aspects sociaux, économiques, politiques et environnementaux du développement grâce à ses expériences en tant que professeur d'université en pratique de développement, conseillère en urbanisme et en politique publique, et praticienne dans divers contextes de développement.
Au cours des huit dernières années à l'UNOPS, Mme Wah a établi de solides relations de travail avec les partenaires gouvernementaux, ceux des Nations Unies ainsi que ceux des organisations internationales. Sous sa direction, l'UNOPS fournit un soutien technique et un renforcement des capacités dans des domaines de développement stratégique, notamment la construction et la réhabilitation d'infrastructures socio-économiques, les marchés publics, la paix, la stabilisation et la sécurité ainsi que la préservation et la protection de l'environnement.
Avant de rejoindre l'UNOPS, Mme Wah était directrice du Fragile States Program Center et du Haiti Research and Policy Program à l'Earth Institute de l'Université de Columbia (États-Unis), où elle a également enseigné la pratique du développement durable, le développement dans les États fragiles et le développement urbain dans le monde noir.
Mme Wah est titulaire d'un doctorat en planification du développement et politique publique ainsi que d'une maîtrise en planification urbaine et régionale de l'université Rutgers (États-Unis). Elle est aussi détentrice d'une licence en comportement organisationnel et gestion de l'Université Brown (États-Unis). Elle est l'auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l'immigration, la diaspora et le développement, la structure des systèmes sociaux et le développement économique dans les États fragiles.
Mme Wah a plus de 25 ans d'expérience dans les pratiques et politiques de développement durable dans les secteurs privé, universitaire, gouvernemental et des ONG. Elle possède une vaste connaissance des aspects sociaux, économiques, politiques et environnementaux du développement grâce à ses expériences en tant que professeur d'université en pratique de développement, conseillère en urbanisme et en politique publique, et praticienne dans divers contextes de développement.
Au cours des huit dernières années à l'UNOPS, Mme Wah a établi de solides relations de travail avec les partenaires gouvernementaux, ceux des Nations Unies ainsi que ceux des organisations internationales. Sous sa direction, l'UNOPS fournit un soutien technique et un renforcement des capacités dans des domaines de développement stratégique, notamment la construction et la réhabilitation d'infrastructures socio-économiques, les marchés publics, la paix, la stabilisation et la sécurité ainsi que la préservation et la protection de l'environnement.
Avant de rejoindre l'UNOPS, Mme Wah était directrice du Fragile States Program Center et du Haiti Research and Policy Program à l'Earth Institute de l'Université de Columbia (États-Unis), où elle a également enseigné la pratique du développement durable, le développement dans les États fragiles et le développement urbain dans le monde noir.
Mme Wah est titulaire d'un doctorat en planification du développement et politique publique ainsi que d'une maîtrise en planification urbaine et régionale de l'université Rutgers (États-Unis). Elle est aussi détentrice d'une licence en comportement organisationnel et gestion de l'Université Brown (États-Unis). Elle est l'auteur de plusieurs ouvrages et articles sur l'immigration, la diaspora et le développement, la structure des systèmes sociaux et le développement économique dans les États fragiles.
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